2ème partie

                

En 1982, James Hall affirma avoir été appelé à se rendre d'urgence à la demeure de Marilyn Monroe alors qu'il était ambulancier en 1962. Hall était accompagné à l'époque de son collègue Murray Leibowitz retrouvé seulement en 1993 et qui confirma tout. Ils avaient été accueillis par Pat Newcomb (amie et attachée de presse de Marilyn) survoltée et paniquée au 12305 5th Helena Drive dans le petit pavillon. Marilyn gisait sur son lit à moitié morte. Ils déplacèrent Marilyn dans le petit salon pour une séance de réanimation qui nécessitait de la place et le dos au sol.

           
Au moment où les réanimateurs réussissaient leur entreprise et étaient sur le point de chercher le brancard, Ralph Greenson (le psy de Marilyn) leur imposa de faire du bouche à bouche à la mourante… sans succès. Dans son élan, le Dr Greenson tenta une injection intracardiaque d'adrénaline directement dans le cœur. Ayant touché une côte et au lieu de ressortir l'aiguille, il persista. Marilyn mourut à cet instant.

En 1993 les enquêteurs retrouvèrent également Norman Jefferies alors très malade mais qui fut présent pendant toute la journée du 4 août 1962 chez Marilyn. Proche de Mrs Murray, il était affecté à des travaux dans la maison de la star et il confirma le témoignage de Hall. Mais surtout il avait aussi été le témoin de la venue de Bobby Kennedy et de l'acteur Peter Lawford chez Marilyn dans l'après midi. Confirmée par des enregistrements d'un détective privé (Marilyn était sur écoute) la rencontre fut violente, Marilyn en colère à l'encontre de l'attorney. Il y eut des coups.

                 
Plus tard dans la soirée entre 21h30 et 22h, Robert Kennedy accompagné de deux hommes retournèrent chez Marilyn. Jefferies témoigne qu'il lui a été sommé - ainsi qu'à Mrs Murray - de déguerpir. Inquiets, les deux rejetés allèrent chez des voisins de l'actrice.
Une demi-heure plus tard, en revenant au 12305 5th Helena Drive, ils découvrirent Marilyn nue sur le divan.

" J'ai cru qu'elle était morte, déclara Jefferies. Elle était sur le ventre, une main tenant plus ou moins le téléphone. Je n'avais pas l'impression qu'elle respirait et elle avait une couleur affreuse ".
Mrs. Murray appela une ambulance. Puis elle appela le Dr Greenson qui vint immédiatement ainsi que le Dr Engelberg.
Comme l'écrit Don Wolfe dans son ouvrage:
" Tout porte à croire à un crime prémédité. Marilyn reçut une injection en présence de Bobby Kennedy et la dose était assez forte pour tuer quinze personnes ".

           


01/03/2008
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