Les Kennedy...

           

Les mobiles de Kennedy à l'encontre de Marilyn étaient nombreux: l'actrice était à la fois un lien entre lui, son frère (Marilyn fréquentait aussi John, le Président) et la mafia. Elle connaissait des secrets d'Etats de la plus haute importance.

 

Dans les derniers mois de sa vie, Marilyn Monroe était devenue une amoureuse hystérique, harcelant la Maison Blanche de coup de téléphones furieux, enragée d'être rejetée. La jolie blonde était également une femme au journal intime menaçant qui avait laissé planer à de nombreux proches combien elle était capable de se rebeller. Marilyn dont le goût pour les médicaments mélangés à de la vodka était connu et qui avait plusieurs fois attenté à sa vie sans succès (souvent sauvée de justesse) donnait un alibi tout indiqué à ses meurtriers...

 

       

 

En 1962, après sa mort et croyant au suicide, nombreux de ses amis dirent combien ils n'étaient guère étonnés de sa disparition. Beaucoup avaient vécu les coups de fil de l'actrice dépressive à 3 heures du matin ou avaient été spectacteurs de ses états d'ébriété.Ils savaient qu'il fallait être vigilants, la surveiller, s'occuper d'elle comme une enfant.

 

            


Paradoxe que cette mort monstrueuse pour cette femme si douce en réalité, dont Arthur Miller, qui fut son mari, disait :
" Si l'on veut vraiment comprendre Marilyn, il faut la voir avec des enfants ; Les enfants l'aiment à la folie ; elle se comporte comme eux, envers la vie : la même simplicité, les mêmes attitudes directes ".

Une enfant qui jouait dans la cour des grands et qui fut broyée par " la raison d'état ".

                                           Olivier Bombarda
          


22/04/2008
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